vendredi 16 février 2018

Poème express n° 708

posted by Lucien Suel at 07:41

7 Comments:

Anonymous Anonyme said...

(la scène où le chariot d'aspirateur descend les marches du ministère qui va exploser comme dans un rêve est extra - librement inspirée de Sergueï Eisenstein, Le cuirassé Potemkine 1925) (de la sauce tomate partout c'est plutôt quand la mère du héros explose - si je me souviens bien - lors de ce raout magnifique) (tout ça fait une peine terrible, mais Kafka n'est jamais loin de Gilliam) cette magie quand on entend "Aquarelo do Brazil" (due à Ary Barroso - laquelle illustrait aussi un film de 1944, étazunien, du même titre) Brazil (Terry Gilliam, 1985) cette merveille terrifiante (la version montage final dure 2 heures vingt deux, les étazuniens (pauvres choux) allaient être choqués par telles exactions, et se contenteront de 1 heure 34) (le dernier mot du poème adressé à la firme Universal par le réalisateur (et nous), lors de sa bataille contre elle - un film existe (pas vu) de cet épisode ou Gilliam se bat pour un film comme il le voulait, et non comme le lui suggéraient les producteurs)

08:22  
Anonymous ste said...

océan sauce merde

10:29  
Blogger Lucien Suel said...

Pas mieux !

10:34  
Anonymous FP said...

Que l'on puisse s'enthousiasmer pour de vastes étendues de tomates dissoutes, voilà qui le contraria momentanément...

(on peut le comprendre)

15:30  
Anonymous ste said...

Un océan de pâtes sous sauce tomate.
Une escorte de griserie une véritable plaie sire de vision carcérale.
Merdre...

17:30  
Blogger Lucien Suel said...

"plaie sire" résonne comme "blessure" (hémoglobine ou sauce tomate)

17:48  
Anonymous ste said...

Toujuste ; merci pour votre express ketchupé...et pardon pour le double post.

19:24  

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